Ce n’est pas la fabrique du Père Noël, c’est encore mieux !
La filature ÍSTEX à Mosfellsbær, d’où proviennent les fils proposés chez trÍScote.
Souvent je suis bavarde dans mes newsletter mais pour une fois je vais laisser parler les images !
La laine est achetée directement auprès de 1800 fermiers dans le pays. Après la collecte et le tri, elle est lavée près de Blönduós et elle ensuite ici dans ces énormes ballots, elle est blanche, grise, marron ou presque noire, couleurs naturelles des moutons. Un minimum de détergeant est utilisé afin de préserver au mieux les caractéristiques naturelle de la laine et ses qualités de chaleur, légèreté et imperméabilité.
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La laine est teintée dans ces grandes cuves et on dispose alors d’un certain nombre de couleurs de base pour créer toutes les teintes du nuancier. Comme pour préparer des cocktail, voici le « bar à couleurs »
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Il suffit ensuite de suivre la recette correspondant à la teinte souhaitée... par exemple cet assemblage de pinot noir et chardonnay jaune, orange, vert et bordeaux permet de créer la couleur 1424 plötulopi !
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Les morceaux de laine sont ensuite brassés puis la laine est cardée et les fibres des différentes couleurs se mêlent donnant aux fils ÍSTEX ces teintes très légèrement chinées. Le procédé est identique pour obtenir les différents gris en faisant varier les proportions de blanc et de noir.
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Pour les galettes de lopi (plötulopi), le fil mèche est mis en rouleau pour être utilisé directement.
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Les fils Léttlopi et Álafosslopi sont obtenus par la torsion de 2 fils (la laine n'est pas filée, juste tordue). Ici la machine pour faire les pelotes de 50 g de Léttlopi.
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Pour finir le reportage en couleurs, voici le pull Afmaeli tricoté avec 9 couleurs différentes dans le nuancier léttlopi et le mur de couleur Einband dans la boutique Alafoss à Mossfellsbaer.
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